
Autres informations / 19.04.2009
Le centaure : un leader de l’assurance qui défend ses clients
Depuis 1992, Le Centaure
assure les chevaux – et uniquement les chevaux. Courtier en assurances, il est
avant tout le défenseur des intérêts de ses clients. Et propose les garanties
les plus larges : à commencer par la « valeur agréée », qui permet à l’assuré
de toucher l’indemnité convenue à la signature du contrat, sans mauvaise
surprise de dernière minute.
Jour de Galop. – Comment
avez-vous lancé Le Centaure ?
Christophe German. – En fait,
je connaissais à la fois le monde des chevaux – mon grand-père Alfred Lefèvre a
été un très grand marchand et j’ai moi-même drivé en course
– et le monde des assurances,
puisque c’est le secteur dans lequel j’ai débuté. Dès le départ, je crois que
c’est cette double expertise qui a fait la crédibilité du Centaure. Je dois
beaucoup à ces grands professionnels qui m’ont fait confiance au début, comme
Joël Hallais, Alec Head, JeanPierre Dubois ou la famille Levesque. Quand je
suis allé les voir, ils assuraient très peu. Ils ont été convaincus par ce
petit jeune qui venait avec passion et sérieux.
Qu’est-ce qui fait
aujourd’hui la différence entre les services du Centaure et ceux de ses
concurrents ? Notre philosophie part du principe que le courtier doit toujours
avoir « l’ascendant » sur l’assureur pour éviter que son client se soumette à
un « marchandage » pour être indemnisé et pour ce faire il faut avoir des
garanties très étendues. Nous appliquons par exemple systématiquement le
principe de « valeur agréée ». Cela signifie qu’en cas de sinistre, nous payons
la valeur qui a été fixée au départ du contrat. C’est une grande différence
avec le principe de « valeur déclarée », qui impose au client de prouver la
valeur de son cheval au moment du sinistre. Nous offrons aussi à nos clients
une clause d’extension de garantie de 12 mois : si un cheval tombe gravement
malade un mois avant la fin du contrat, nous ne fuyons pas nos responsabilités
en refusant de reconduire le contrat. Au contraire, dans les mois qui suivent,
nous continuons à respecter nos engagements sur les bases initiales, même si le
risque de mortalité est devenu plus important. Le client doit être conscient de
l’importance d’informer son courtier de voyages hors d’Europe ou d’affections
(même bénignes) de son cheval assuré pour que nous puissions représenter ses
intérêts auprès de l’assureur qui doit, lui aussi, avoir les moyens de faire
éventuellement intervenir un vétérinaire. Certaines personnes croient, à tort,
que tous les assureurs offrent la même chose. Bien souvent, elles regardent le
montant de la prime avant de lire les garanties – mais attention en cas de
sinistre… qui s’occupe de vous ?
Vous-même êtes courtier, et
non pas agent. Pouvez-vous nous expliquer le distinguo entre les deux termes ?
Un courtier est un
intermédiaire entre un client et un assureur. Juridiquement, Le Centaure
représente ses clients, qui nous mandatent. Donc, je le précise, nous sommes du
côté du client en cas de sinistre. C’est une différence fondamentale avec un
agent d’assurance qui
doit par nature se ranger aux
conclusions de sa compagnie d’assurances. Pour dire les choses différemment, un
sinistre ne nous coûte rien. N’étant pas juge et partie, nous les réglons donc
très vite : en moyenne sous 15 jours. En 14 ans, nous n’avons jamais eu un
procès concernant un sinistre. Chaque année, nous versons entre 2 et 5 M€ à nos
clients et tout se passe très bien.
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