
Autres informations / 05.08.2009
Ventes de yearlings arqana
J-8 : LE MARCHÉ VU PAR LES
VENDEURS
À partir d’aujourd’hui et
jusqu’au premier jour des ventes de yearlings se déroulant du 14 au 17 juillet,
JDG publie les dernières réactions des vendeurs. Trois questions identiques
leur ont été posées :
Comment appréhendez-vous ces
ventes ?
Comment se présente votre lot
?
Que pensez-vous des avantages
du marché français par rapport aux marchés étrangers ?
Thierry de La Héronnière,
Haras d’Ellon
Le marché paraît en forme.
Nous disposons d’un véritable catalogue avec un niveau de qualité élevé et
constant sur les quatre jours. La question évidente, ce sont les acheteurs,
seront-ils au rendez-vous ?
Mon lot est sympathique,
réduit, mais la qualité est là.
Le marché français est le premier
qui se présente, c’est un avantage pour faire venir les
acheteurs. Cependant, il est
toujours difficile de le comparer avec les marchés étrangers. Je vise le marché
français car pour vendre à l’étranger, il est nécessaire que les chevaux soient
très anglo-saxons.
Julian Ince, Haras du Logis
Le marché est sélectif. La qualité est très
bonne, c’est indiscutable.
Je suis très content de mon
lot. Ce sont des chevaux nés et élevés en France et de bonne qualité.
Les primes éleveurs et
propriétaires sont énormes, ce qui reste un avantage considérable pour le
marché français. La crise le met d’autant plus en exergue. Nous avons une très
bonne qualité de chevaux et nous sommes aptes à produire de vrais chevaux de
course. On peut dire que c’est un marché à la mode !
Hubert Honoré, Haras d’Omméel
La catalogue est très bon,
avec des modèles de qualité. Maintenant, c’est une question de confiance. Les
acheteurs doivent avoir confiance en l’avenir pour acheter. C’est
psychologique.
Mon lot est un très bon lot
au papier, peut-être même le meilleur de ces sept ou huit dernières années.
Les courses françaises sont
bien dotées. Il existe une tendance à acheter des produits français. De plus,
c’est aussi une histoire d’ambiance, car le cadre des ventes de Deauville est
idyllique. J’ai bon espoir dans l’élevage français. Les chevaux sont
indéniablement bons.
Marc de Chambure, Haras
d’Etreham
C’est difficile à dire, la
qualité est excellente, les chevaux sont là, maintenant il reste à savoir si
les acheteurs suivront.
Nous avons un bon choix de
chevaux, autant pour les mâles que les femelles. Notre travail est fait.
Le marché français présente
beaucoup d’avantages, autant sur les courses, les prix que les primes. Il est
le premier pour les prix en Europe, c’est une bonne industrie.
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