
Autres informations / 22.04.2017
Le mot de la fin : Champion
Le mot de la fin : Champion
Tous les amoureux des courses, même les « galopeurs », ont vibré en voyant le crack Bold Eagle remporter le Prix de l’Atlantique comme s’il s’agissait d’un simple travail. À le voir ainsi aligner les victoires, on se remémore les envolées de Frankel, de Zarkava et, plus récemment, de Trêve. Les courses ont besoin de champions. Le trot a l’immense chance d’en avoir un, avec, de plus, un entourage qui joue le jeu. Les tribunes d’Enghien étaient remplies pour voir sa démonstration avant qu’il ne s’envole pour disputer l’Elitloppet. Une polémique a éclaté récemment : Pierre Pilarski voulait courir Bold Eagle sur l’hippodrome de Feurs, situé dans sa région d’origine. La course visée était un Quinté + disputé en octobre, mais dont les conditions de courses excluaient de facto Bold Eagle (plafond de gains à 330.000 €). Du côté de la société des courses, c’était OK pour faire sauter la limite de gains. Mais le conseil d’administration de LeTrot en a décidé autrement. La raison ? L’optimisation des jeux et des courses. Cette « super course » aurait pu impacter le nombre de partants d’autres épreuves, donc les enjeux, selon la société mère.
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