
Autres informations / 14.10.2017
Le mot de la fin : Handicap
Le mot de la fin : Handicap
Le mot handicap n’a jamais aussi bien porté son nom. Certains disent qu’il suffit d’ajouter ce terme dans les conditions de courses pour gagner des partants et des enjeux. Mais ce n’est pas aussi simple. Anthony Bromley a déclaré ce dimanche : « En tant que représentant d’Highflyer Bloodstock, je peux affirmer que nous achetons désormais davantage de chevaux pour les garder en France. Dans l’ensemble, je pense que les exportations sont stables sur la décennie. Simon Munir et Isaac Souede, mes clients et amis, trouvent que leurs représentants sont obligés de porter des pénalisations trop lourdes outre-Manche. En France, les meilleurs, et pas seulement ceux qui se sortent le mieux du système des handicaps, ont encore une chance de s’exprimer. Votre problème de partants dans les bonnes courses vient souvent, comme chez nous, de la crainte qu’une performance affecte la valeur handicap. En Grande-Bretagne, ils ont envahi le programme. Il devient difficile de trouver des partants pour les bonnes courses, à l’exception des grands festivals (…) Je serais très déçu de voir le nombre de handicaps augmenter en France, car ils sont en train de détruire les courses anglaises. »
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