
Le Mot de la Fin / 24.05.2020
Le mot de la fin : Débrouillardise
La condition des jockeys n’est pas la même dans tous les pays à travers le monde. Pendant la crise du Covid-19, Borja Fayos, Cravache d’or espagnole en 2008 et 2016, vainqueur d’une centaine de courses en 2019 entre le Maroc, la France et l’Espagne, a eu un emploi du temps chargé. Tellement chargé qu’il lui a valu de nombreux articles dans la presse généraliste et sportive en Espagne. En effet, après un réveil à 5 h du matin pour monter plusieurs lots jusqu’à 11 h à Madrid, il a rendez-vous dans une boucherie pour faire de la livraison à domicile à vélo. Les week-ends, il livre aussi, toujours à vélo, mais cette fois, ce sont des fleurs et/ou des sushis… Ses journées se terminent généralement sur les coups de 20 h. Et ce week-end, il a même pris la direction de San Sebastian pour participer à des galops… Borja Fayos a expliqué dans les colonnes du quotidien sportif Marca : « Il y a des jours où je fais dans les quarante kilomètres à vélo, en plus de monter les chevaux le matin. Je dois conserver la forme et surveiller mon poids pour que je sois en pleine forme lorsque les courses vont revenir. »
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