Option jockey-club pour natagora

Mercredi 21 mai, Chantilly. La grise Natagora (Divine Light) a galopé mercredi matin sur l’hippodrome

des Condés en compagnie de son compagnon d’entraînement Gloria de Campeao (Impression). Associée à son jockey Christophe

Lemaire pour l’occasion, elle découvrait la piste du Jockey-Club, puisqu’elle

s’était produite sur la ligne droite seulement à Chantilly. Elle a bouclé un

parcours de 2.100

mètres, dont une première partie à petite vitesse, et

déployé pour finir une action très convaincante, selon Patrick Barbe, manager

du propriétaire de la pouliche, Stefan Friborg.

Coupe possible

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Cet exercice

fait partie du programme de Natagora en vue du prochain classique de son agenda,

qui sera le Prix du Jockey-Club ou le Prix de Diane, comme l’a confirmé Patrick

Barbe : « Nous n’avons pas encore pris notre décision et nous

accordons le temps de voir ce qui se passe, a-t-il précisé, mais le Jockey-Club

est très possible. Il faudra analyser l’opposition dans l’une et l’autre des

deux courses, sachant que Zarkava (Zamindar)

est peut-être la plus redoutable entre tous. Depuis que le parcours du Jockey

Club a été décapité, ce n’est plus la même course. Malgré tout, Natagora était

la seule pouliche engagée… »

« Le

Château ne lui a pas fait peur et elle nous a vraiment enthousiasmé, ce

matin », a conclu le manager. Pour sa part, Christophe Lemaire était aussi

convaincu : « Elle s’est très bien adaptée à la piste et aux

tournants, a-t-il noté. Une vraie mobylette ! »

Le pilote attitré

des pensionnaires de Jean-Claude Rouget ne pourra pas monter la pouliche si

elle affronte les mâles, puisqu’il doit être associé à High Rock (Rock of Gibraltar) qui possède une très belle chance

après sa victoire facile dans le Prix La Force (Gr3). Natagora a été montée par Johnny

Murtagh pour ses débuts et par Stéphane Pasquier dans le Prix du Bois (Gr3)

mais ces deux pilotes seront certainement également réservés pour le French Derby…

PHRASE DU JOUR

« C’est un

plaisir de se lever pour monter ces chevaux-là. »

Christophe

Lemaire, à propos de Natagora

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