Courses / 27.09.2016

Festival du Galop de Vichy : le bilan sportif

AU CŒUR DE L’ACTU

Festival du galop de Vichy : le bilan sportif

Le Festival du Galop de Vichy s’est clôturé samedi soir. Sept réunions se sont succédé dans l’Allier avec comme point d’orgue le Grand Prix de Vichy (Gr3) remporté par le germanique Night Wish (Sholokhov). Six mille cinq cents personnes sont venues sur l’hippodrome le soir du Grand Prix, soit une affluence supérieure à celle de l’an dernier. Les enjeux P.M.H. sur l’hippodrome sont d’ailleurs en hausse de 12 % sur la semaine par rapport à 2015. Nous aurons l’occasion, dans une prochaine édition, de revenir sur les chiffres des enjeux du Festival du Galop.

Quelques chiffres...

58 courses courues

685 partants (moyenne de 11,8 par course)

296 allocations versées

2.046.392 € distribués aux propriétaires, dont 564.432 € en primes (27,6 % du total)

245.400 € en primes aux éleveurs.

LE PALMARÈS DU FESTIVAL DU GALOP

Propriétaires : Al Shaqab Racing grâce aux Listeds

Al Shaqab Racing n’a eu que trois partants à Vichy, mais cela a suffi pour terminer en tête du classement des propriétaires. L’écurie qatarie a pu compter sur Doha Dream (Shamardal), lauréat du Prix Frédéric de Lagrange (L), et Al Hayyah (Lope de Vega), deuxième du Prix Madame Jean Couturié (L). Propriétaire de Night Wish, la Stall Salzburg est deuxième devant Jean-Claude Seroul qui a remporté deux courses lors du meeting.

Entraîneurs : un meeting réussi pour Keven Borgel

Grâce à quatre succès, dont un Quinté Plus avec Fidux, Keven Borgel termine meilleur entraîneur de la semaine aux gains et par le nombre de victoires. Il domine par les gains deux vrais habitués du Festival du galop : François Rohaut et Henri-Alex Pantall.

Jockey : Mickaël Barzalona devant Pierre-Charles Boudot

Mickaël Barzalona a commencé le meeting de Vichy sur les chapeaux de roue et termine meilleur jockey avec six succès. Il domine l’actuel leader au classement de la Cravache d’or, Pierre-Charles Boudot. Ce dernier a passé quatre fois le poteau en tête. C’est autant que Tony Piccone, gagnant du Grand Prix de Vichy.