Courses - Institution / Ventes / 27.09.2016

Réaction du PMU suite à l'article de Jour de Galop « La chasse aux partants » du 23 septembre 2016

Réaction du PMU suite à l’article de Jour de Galop

« La chasse aux partants » du 23 septembre 2016

 « Posée dans l’édition d’hier de Jour de Galop, la question de l’impact du nombre de partants est légitime et intéressante.

Partout dans le monde, une hausse du nombre de partants par course a un effet sur la demande des clients et la hausse des enjeux. En France, il existe un véritable effet de seuil sur le nombre de partants, notamment en plat :

+ 49 % d’enjeux entre une course à 8 partants et une à 7 partants, en moyenne

+ 24 % d’enjeux entre une course à 10 partants et une à 8 partants, en moyenne

+ 22 % d’enjeux entre une course à 14 partants et une à 10 partants, en moyenne

+ 29 % d’enjeux entre une course à 18 partants et une à 14 partants, en moyenne

La baisse du nombre de partants a également un impact mathématique à la baisse sur les rapports. En effet, moins il y a de partants, moins il y a d’aléas et donc plus les rapports sont faibles, réduisant ainsi l’intérêt pour les parieurs.

L’exigence de nos clients porte également sur la qualité : ils apprécient et jouent davantage sur des courses de qualité. Pour preuve : à nombre de partants (élevé) identique, une course de Groupe support du Quinté + génère systématiquement plus de chiffre d’affaires qu’une course Quinté + de qualité inférieure.

Pour ne reprendre que l’exemple du Mini Multi cité hier, sa création est une adaptation à l’évolution du programme des courses et au faible nombre de partants. La création du Mini Multi a permis d’apporter un pari spéculatif sur des courses n’ayant pas le nombre de partants suffisant pour proposer le Multi. En 2015, le Mini Multi a généré 233 M€ d’enjeux, pour un rapport moyen en 4 de près de 600 €.

Le PMU fait sans cesse évoluer ses paris spéculatifs pour mieux s’adapter au programme des courses. Des initiatives allant dans ce sens et adaptées aux courses avec peu de partants verront le jour très prochainement.

Comme partout ailleurs dans le monde, le programme de courses doit également être adapté aux attentes des clients-parieurs, notamment en termes de qualité.

Le marché du pari hippique est un marché d’offre. Or plus l’offre est large, plus les enjeux sont élevés. L’offre de courses et l’offre de paris sont indissociables. Il faut que chacun garde à l’esprit qu’il n’y a pas de paris sans courses et pas de courses sans paris. »

Texte rédigé par l’équipe du PMU

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