Paris
Les courses asiatiques doivent lutter contre des sites de paris illégaux qui, bien évidemment, ne reversent rien aux filières. C’est d’ailleurs ces sites, et la pression immobilière, qui ont mené le sport hippique de Singapour à sa perte. En Malaisie aussi, les sites illégaux font des ravages. C’est ainsi que le Turf Club de Perak a pris une mesure extrême : il oblige les propriétaires à parier sur leurs chevaux à raison de 1.000 ringgits, soit 207 € par course. Au moment de la déclaration des partants, les propriétaires doivent s’acquitter de cette somme pour courir. Le but ? Enrayer la baisse du pari mutuel, due aux sites pirates…