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mercredi 21 mai 2025
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UN DEMI-SIÈCLE D’ÉLEVAGE ET DE COURSE

UN DEMI-SIÈCLE D’ÉLEVAGE ET DE COURSE

Par Nancy Sexton

On dit souvent qu’il faut un très grand nombre de chevaux et des fonds colossaux pour bâtir une écurie de courses de haut niveau. L’histoire de S.A.R. le prince Faisal va à contre-courant de cette idée. Plus que celui du nombre ou des investissements massifs, son succès est le fruit d’une sélection rigoureuse, fondée sur une compréhension fine des pedigrees et du cheval lui-même. Tout remonte à l’enfance et à la passion d’un jeune Saoudien pour le cheval et le sport hippique : « J’aimais monter à cheval. Nous avions un grand haras à la maison. Je montais dès que je le pouvais, matin et soir, dans le désert. Mais ma passion a toujours été les courses. J’aimais visiter l’Angleterre, mais je n’aimais pas voyager. Je me suis dit qu’avoir une écurie là-bas m’encouragerait à venir plus souvent. »

Les courses britanniques et françaises ont largement bénéficié de son engagement. Depuis plus de 45 ans et la victoire de Kareem (Northfields) en mai 1980 à Chester, rares sont les saisons où ses célèbres couleurs « grenat et gris » n’ont pas été portées par des chevaux de premier plan. Les produits issus de son élevage – sous la bannière Nawara Stud – ont dès le départ joué les premiers rôles. Ainsi Nawara (Welsh Pageant), gagnante d’un maiden à Bath, est la mère du champion italien Alhijaz (Midyan). Entraîné par John Dunlop, il a remporté les 2.000 Guinées italiennes (alors Gr1) en 1992. Il fut l’un des meilleurs produits de Midyan (Miswaki), vainqueur des Jersey Stakes (Gr3) et lui-même propriété du prince Faisal. Midyan a marqué le début de la réussite d’une stratégie visant à introduire du sang américain, ayant été acheté yearling pour 165.000 $ en 1985. Dans cette même saison d’achat, Sanam (Sharpman), acquis pour seulement 35.000 $, allait remporter le Gran Criterium (Gr1). Depuis, les succès de Gr1 se sont multipliés. Olden Times (Darshaan), issu de Garah (Ajdal), la bonne sprinteuse du prince, a remporté le Prix Jean Prat (Gr1) en 2001. À cela s’ajoutent les succès de Make Believe (Makfi) et Belardo (Lope de Vega), achetés aux ventes publiques, qui ont respectivement brillé dans la Poule d’Essai des Poulains (Gr1) et les Dewhurst Stakes (Gr1). Et puis le meilleur d’entre tous, le champion Mishriff (Make Believe), qui a été sacré meilleur cheval du monde en 2020.

Cet achat qui a tout changé

L’histoire de Mishriff remonte à l’achat de son arrière-arrière-grand-mère Eljazzi (Artaius) acquise yearling par le Major Johnnie Lewis lors de la vente Tattersalls Houghton de 1982. Eljazzi était une fille d’Artaius (Round Table), lauréat des Eclipse Stakes et des Sussex Stakes et étalon vedette d’Airlie Stud. Border Bounty (Bounteous), la mère d’Eljazzi, a été deuxième des Yorkshire Oaks avant de produire Pitcairn (Petingo), champion sire britannique et irlandais en 1980 grâce notamment à Ela-Mana-Mou (Pitcairn). Le prince se remémore : « Nawara fut la première jument que j’ai élevée. Peu après, j’ai acheté Eljazzi yearling. J’étais aux ventes, et j’ai vu cette jolie pouliche, très forte derrière la selle, très correcte. Elle avait un pedigree intéressant, étant une demi-sœur de Pitcairn, un excellent miler. J’aimais aussi sa lignée paternelle : je pensais qu’Artaius pourrait devenir un bon père de mères. »

Eljazzi a remporté son maiden à Leicester avec quatre longueurs d’avance pour Sir Henry Cecil, mais n’a plus gagné par la suite. De ses dix produits gagnants, Rafha (Kris) est de loin la meilleure (Prix de Diane 1990). Ses autres filles ont vraiment brillé au haras : Chiang Mai (Sadler’s Wells), mère de Chinese White (Dalakhani), Al Anood (Danehill), mère de Pride Of Dubai (Street Cry), El Jazirah (Kris), ancêtre de Pinatubo (Shamardal), et Wosaita (Generous), ancêtre de Wimbledon Hawkeye (Kameko), qui court les 2.000 Guinées (Gr1) samedi. La famille d’Eljazzi continue de rayonner, notamment en Australie, grâce à Pride of Dubai, qui trône actuellement en tête du classement des étalons avec plus de 21,3 millions de dollars australiens de gains pour sa production. Le prince ajoute : « Le père de Rafha, Kris (Sharpen Up), avait du bec, et il était très bon marcheur. Il croisait bien avec des juments ayant Djebel (Tourbillon) dans leur pedigree, donc je pensais qu’ils se compléteraient. À l’époque, Kris était un grand succès au haras, surtout comme père de pouliches. Mais Eljazzi n’avait gagné qu’un maiden, et Kris coûtait alors 90.000 £ – tout le monde pensait que j’étais fou. »

Le jour où il est allé contre la volonté de Sir Henry Cecil 

Le produit de ce croisement a été une petite pouliche, si petite que Sir Henry Cecil disait qu’elle était « grosse comme une abeille » : « Eljazzi était petite mais coriace. Comme Rafha. » Après avoir remporté les May Hill Stakes en battant Knight’s Baroness (Rainbow Quest), Sir Henry Cecil suggère de l’envoyer au haras. Faisal refuse, insistant pour poursuivre en compétition. À 3ans, Rafha a gagné les Princess Elizabeth Stakes de dix longueurs, puis l’Oaks Trial de Lingfield, battant à chaque fois Knight’s Baroness, future lauréate des Irish Oaks (Gr1). Plutôt que d’affronter Salsabil (Sadler’s Wells) dans les Oaks, Rafha a été engagée dans le Prix de Diane, qu’elle remporte brillamment. Le souvenir d’un départ chaotique dans les stalles reste vif : « J’ai vu la jambe de Willie Carson passer par-dessus son flanc. Mais il s’est rétabli, l’a équilibrée, et à ma grande surprise, elle est venue gagner. »

Rafha n’a plus couru ensuite. Envoyée à différents étalons, elle a produit 11 gagnants, dont quatre stakes winners : Invincible Spirit (Green Desert), Sadian (Shirley Heights), Acts Of Grace (Bahri), et Massara (Danehill), ancêtre de Gustav Klimt (Galileo) et Nayarra (Cape Cross). Kodiac (Danehill), placé de Gr3, est devenu l’un des meilleurs étalons européens. Les étalons de renom Invincible Spirit et Kodiac ont donné un cumul de 30 lauréats de Gr1. Avec le recul, le prince analyse : « Cette famille semble bien croiser avec tout. Rafha était extrêmement polyvalente. Sadian était un cheval de 2.400m, capable de courir le Derby. Invincible Spirit a remporté l’Haydock Sprint Cup et était également un excellent 2ans. Je pense que Kodiac était en réalité un meilleur cheval que ne l’indique son palmarès, mais il a été malchanceux. Après sa blessure au bassin, il avait besoin de terrain ferme, et à chaque fois que nous voulions le courir, il pleuvait. Il n’a jamais trouvé son terrain. »

L’attrait pour le sang américain 

Acts Of Grace (Bahri) est la deuxième mère de Mishriff. Elle est gagnante de trois courses, dont le Prix des Tourelles (L) à Chantilly : « J’ai envoyé Rafha au Kentucky pour être saillie par Bahri (Riverman) car je souhaitais obtenir ce sang de Never Bend (Nasrullah) ». La mère de Mishriff, Contradict, est une fille de Raven’s Pass (Elusive Quality) et d’Acts Of Grace. Entraînée par Mick Channon, elle a gagné à Salisbury et s’est classée quatrième au niveau Listed. Actuellement stationnée dans le Kentucky, Contradict a un poulain de 3ans nommé Kaleido (Make Believe). Ce frère de Mishriff montre de très belles choses au sein de l’écurie Gosden. Sa 2ans Sindalah (Dubawi) est entraînée par André Fabre. Elle a aussi un foal par Justify (Scat Daddy) et est pleine de Not This Time (Giant’s Causeway). « J’apprécie beaucoup la lignée de Mr Prospector (Raise A Native), précise le prince. C’est en partie pour cette raison que j’ai utilisé Raven’s Pass (Elusive Quality) sur Acts Of Grace (Bahri). Si l’on remonte à Eljazzi, son père Artaius était un cheval américain par Round Table, une origine que j’appréciais. J’aime réintroduire du sang américain dans mes lignées, et cela m’a souvent réussi – c’est notamment pour cela que j’ai choisi Not This Time cette année. J’aimerais beaucoup obtenir une autre pouliche issue de Contradict, surtout par Not This Time, car je pense que la lignée de Giant’s Causeway est un excellent apport pour mon cheptel de poulinières. »

De bon augure pour Mishriff

Tout cela augure très favorablement pour les perspectives de Mishriff au haras. Ce petit-fils de Rafha est le cheval ayant accumulé le plus de gains dans cette souche. Il est actuellement en deuxième saison de monte chez Sumbe, le haras de Nurlan Bizakov, au tarif de 16.000 €. Il convient de rappeler à quel point ce cheval était exceptionnel. C’est l’un des quatre vainqueurs de stakes élevés par le prince Faisal à partir de Make Believe. Il a couru au plus haut niveau pendant plusieurs saisons sous l’entraînement de John et Thady Gosden, remportant à 3ans le Prix du Jockey Club (Gr1) 2020, puis à 4ans les Juddmonte International (Gr1), la Dubai Sheema Classic (Gr1) et la Saudi Cup. Par ailleurs, il s’est placé huit fois au niveau Gr1. Fort de 11,8 millions de livres sterling de gains, il a montré une polyvalence rare en s’imposant aussi bien sur le gazon que sur le dirt, tout en affichant une remarquable robustesse physique et mentale pour surmonter les déplacements dans des environnements très différents. Mishriff devait initialement commencer sa carrière d’étalon en 2023, mais une blessure a repoussé ses débuts à 2024. Ce contretemps aurait pu le faire sombrer dans l’oubli. Mais il n’en a rien été. Et Sumbe a toujours affiché une confiance sans faille envers lui, lui confiant 14 juments dans son premier book de 113 saillies et 12 de plus pour la saison suivante. Le prince Faisal n’a pas hésité à investir pour le soutenir. Il a ainsi acheté Oscula (Galileo Gold) – gagnante de Gr3 – pour 1 million d’euros lors de la vente de décembre 2022 d’Arqana, et Bounce The Blues (Excelebration) – gagnante de Gr2 – pour 450.000 Gns lors de la vente de décembre de Tattersalls 2022. Mishriff a aussi sailli la gagnante First Kingdom (Frankel), demi-sœur du rapide Sajir, issu de la famille Coup de Folie (Halo). Bounce The Blues a été de nouveau saillie par Mishriff cette année, tout comme Oscula et la maiden Teeran (Kingman), une gagnante également apparentée à Sajir. Lancer un jeune étalon sur le marché demande beaucoup d’endurance. Et la détermination de chaque partie ne doit pas être sous-estimée. Le récent succès de Golden Horde (Lethal Force) en est une belle illustration. C’est le résultat du soutien de Sumbe qui a « fait le job » (voir aplat).

Le prince Faisal se souvient : « Mishriff était un superbe yearling. Il s’est magnifiquement développé en vieillissant. C’était un grand cheval à 3ans, et il est devenu encore plus puissant avec l’âge. Je suis extrêmement satisfait de ses premiers produits. Sur les photos que j’ai vues, ils sont magnifiques, en particulier la pouliche issue de Bounce The Blues. J’ai acheté des juments spécialement pour le soutenir. Je cherchais des juments rapides et je vais continuer à le soutenir. » Le premier poulain de Mishriff que le prince a vu en personne est un mâle issu de Juri (Shamardal), à Blue Diamond Stud à Newmarket, plus tôt ce mois-ci : « J’étais ravi. C’est un grand et fort poulain et j’ai été très satisfait de ce que j’ai vu. » Ce poulain, élevé par Imad Alsagar, est le premier produit d’une sœur d’Ajaya (Invincible Spirit) – vainqueur des Gimcrack Stakes (Gr2) – par Invincible Spirit. Il est l’un des deux foals de première génération de Mishriff élevés à Blue Diamond Stud, avec un mâle issu de la jument Labaaqa (Le Havre), appartenant à Samir El-Masri. Ted Voute, le bras droit du prince Faisal, racing manager et en charge depuis longtemps de la gestion de ses acquisitions (notamment celles de Belardo et Make Believe) confirme : « Les foals de Mishriff ont de la taille et de l’os. Ils dégagent une superbe impression générale, et sont souvent bai foncé. Peu importe la taille de la mère, Mishriff leur transmet beaucoup de qualité. C’est très prometteur. »

La prunelle de ses yeux

Le prince Faisal confie : « Rafha a vraiment été le début de toute cette aventure. Si je ne devais rien accomplir d’autre en courses, élever Rafha et voir sa descendance s’épanouir serait déjà suffisant. Mais élever Mishriff, issu de la quatrième génération de cette famille, est extrêmement gratifiant. Et élever un bon cheval par Make Believe est également une grande satisfaction – c’est un très bon étalon qui mérite d’être soutenu. Mishriff était un cheval exceptionnel. Il est très rare de trouver un cheval capable de gagner au plus haut niveau à la fois sur dirt et sur gazon. On ne peut pas être plus polyvalent que cela. Nous lui avons imposé un programme chargé, et il a toujours répondu présent. » Il convient de noter que Mishriff était stationné à Newmarket pour la majeure partie de sa brillante campagne de début de saison en 2021. Préparé durant l’hiver britannique par les Gosden, il a ensuite été envoyé en Arabie saoudite pour disputer la Saudi Cup sur le dirt, qu’il a remportée en battant de grands chevaux américains tels que Charlatan (Speightstown), Knicks Go (Paynter) et Tacitus (Tapit).

De retour en Grande-Bretagne, il est reparti peu après à Dubaï pour s’imposer dans la Dubai Sheema Classic (Gr1), dominant des champions japonais comme Chrono Genesis (Bago) et Loves Only You (Deep Impact). Cependant, malgré ses exploits internationaux, la performance la plus marquante demeure sans doute son triomphe par six longueurs dans les Juddmonte International (Gr1) à York en août. Le prince se souvient : « Les Juddmonte International étaient vraiment notre objectif principal. Remporter la Saudi Cup était évidemment très satisfaisant, mais la course que je voulais vraiment gagner, c’étaient les Juddmonte. Et il l’a fait brillamment, battant un peloton de chevaux classiques de très haut niveau [Love (Galileo) et Mac Swiney (New Approach), ndlr]. »

La science des croisements

Fin connaisseur des croisements et des pedigrees, le prince confie : « Dubawi (Dubai Millennium) est évidemment extrêmement performant et je serais heureux d’utiliser cette lignée davantage, mais j’en ai déjà beaucoup pour l’instant. Je suis également très enthousiaste à propos d’une autre lignée que tout le monde semble avoir oubliée : celle de Mill Reef (Never Bend). J’ai conservé Olden Times (Darshaan), issu de cette lignée, et je continue à l’utiliser avec une ou deux juments par an. Et je suis heureux des résultats obtenus. » En effet, le projet Olden Times a porté ses fruits pour le prince Faisal, donnant notamment Eydon, vainqueur du Feilden Stakes (L) et quatrième des 2.000 Guinées (Gr1), ainsi que la placée de stakes Savaanah. « J’ai trois de ses filles, explique le prince. Remaat (Kingman) est le deuxième produit de Savaanah. Une autre, Redemption (Dansili), est la mère de Noticeable Grace (Make Believe) [gagnante du Prix Chloé (Gr3)]. La diversité génétique de cette lignée est très utile pour croiser mes juments. »

Concernant Mishriff, son pedigree offre aux éleveurs une opportunité intéressante de pratiquer une consanguinité sur Rafha. Nawara, c’est-à-dire l’élevage du prince, a d’ailleurs réussi cet exercice en produisant Orbaan (Invincible Spirit), premier black type issu d’un croisement doublement apparenté à Rafha, gagnant du Prix de Saint-Patrick (L) à Saint-Cloud. « C’est quelque chose que j’ai essayé de faire, confie le prince. Nous avons vu d’autres éleveurs réussir des croisements consanguins, comme Juddmonte ou Jim Bolger. Mais pour le faire efficacement, il faut vraiment bien connaître la jument, connaître l’étalon, et savoir quel objectif on poursuit – par exemple, ajouter de la vitesse. Mais pratiquer une consanguinité sur Rafha est une idée intéressante, et cela semble bien fonctionner. » À ce jour, 65 vainqueurs dans le monde présentent une consanguinité sur Rafha. Il sera fascinant de suivre la carrière d’étalon de Mishriff. Il possède le profil et le soutien nécessaires pour devenir un reproducteur majeur en France — et il ne serait pas surprenant de voir des champions de sa production porter à l’avenir les couleurs grenat et gris du prince Faisal.

SUMBE A MIS LE PAQUET

Quand les éleveurs choisissent un étalon de Sumbe, ils savent que celui-ci bénéficiera d’un fort soutien à la fois au haras et aux ventes. Un excellent exemple est celui de Golden Horde. Ce sprinter lauréat de Gr1 connaît une bonne réussite avec ses premiers 3ans cette année, notamment avec Dos Mukasan, qui vise la Poule d’Essai des Poulains (Gr1) après sa victoire dans le Prix du Louvre pour l’entraîneur Christopher Head. Le poulain défend les couleurs de Nurlan Bizakov (Sumbe), tout comme Tolebi (Golden Horde) et Alex Volk (Golden Horde), deux récents gagnants prometteurs sous l’entraînement d’André Fabre. Les mères de plusieurs de ces chevaux participent désormais au soutien de Mishriff. Parmi elles, Dalkeya (Exceed And Excel), issue de la famille de Daylami (Doyoun) et Dalakhani (Darshaan), et Nazym (Galileo), sœur proche des gagnants de Gr1 Listen (Sadler’s Wells) et Sequoyah (Sadler’s Wells). « Nous avons envoyé 14 juments à Mishriff l’année dernière, et nous en envoyons à peu près autant cette année, explique Tony Fry, directeur général de Sumbe. Nous sommes très satisfaits de ce que nous voyons chez ses produits ici. Dalkeya a donné un superbe poulain – elle est la mère de Dos Mukasan, qui vise la Poule d’Essai des Poulains. Nazym a également un très beau mâle – elle est la mère de notre gagnante des Musidora Stakes (Gr3), Nausha. Tomyris, lauréate des Chartwell Fillies Stakes (Gr3) et des Michael Seely Memorial Stakes (L), a produit une pouliche de grande qualité. Nous avons aussi un très beau foal issu de It’s Showtime Baby, une bonne 2ans placée de Gr3 à cet âge. Quand des éleveurs sont venus faire saillir leurs juments et qu’ils ont vu les poulains au sol, les retours ont été très positifs. Tous les foals présentent une magnifique robe, un très bon équilibre, et sont très corrects dans leurs aplombs. Ils sont athlétiques et bien développés. Ils ont tous une qualité remarquable — une jolie tête et une belle expression. Nous sommes très heureux de continuer à le soutenir au vu de ce que nous avons observé. »

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